Claudia Jennings in Gator Bait (1974)
Beverly & Ferd Sebastian. Gator Bait (1974)
Voilà un bon film d’exploitation, une perle de drive-in crade, violente, mal jouée mais extrèmement plaisante. D’autant plus qu’on y découvre une Claudia Jennings (playmate de novembre 1969) bien remontée contre une bande de ploucs lui faisant la chasse. La pauvre petite Desiree (qui porte bien son nom), accusée à tort d’avoir tué l’un des leurs, va devoir jouer de tous ses talents pour défendre ses miches et celles de ses frère et sœur. La vie est dure dans la jungle, les aligators vous bouffent la choucroute en moins de deux. Le sheriff est une ordure, presque autant que son crétin de fils Billy Boy. Pis y’a d’autres méchants, qui violent, qui tuent, qui pensent avec leur flingue et leur triste quéquette (deux éléments qui se superposent comme on le voit sur une des captures).
Des longueurs certes mais une atmosphère intéressante si l’on arrive à passer outre l’extrème brutalité misogyne du film, l’humour redneck et les 250 « Billy Boy » prononcés.
Pour se remettre, quelques images de la jolie Claudia dans le magazine au lapin.
Voilà un bon film d’exploitation, une perle de drive-in crade, violente, mal jouée mais extrèmement plaisante. D’autant plus qu’on y découvre une Claudia Jennings (playmate de novembre 1969) bien remontée contre une bande de ploucs lui faisant la chasse. La pauvre petite Desiree (qui porte bien son nom), accusée à tort d’avoir tué l’un des leurs, va devoir jouer de tous ses talents pour défendre ses miches et celles de ses frère et sœur. La vie est dure dans la jungle, les aligators vous bouffent la choucroute en moins de deux. Le sheriff est une ordure, presque autant que son crétin de fils Billy Boy. Pis y’a d’autres méchants, qui violent, qui tuent, qui pensent avec leur flingue et leur triste quéquette (deux éléments qui se superposent comme on le voit sur une des captures).
Des longueurs certes mais une atmosphère intéressante si l’on arrive à passer outre l’extrème brutalité misogyne du film, l’humour redneck et les 250 « Billy Boy » prononcés.
Pour se remettre, quelques images de la jolie Claudia dans le magazine au lapin.
Johannes Vennekamp
Magnifiques illustrations de La Galère de Jean Genet par le peintre Johannes Vennekamp. Ed. Merlin, 1991.
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